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(Valencia) sensitivity is divinity

Valencia Narvan
INCONNU ● nouveau venu
Valencia Narvan
le coeur
Arrivée :  27/01/2023
Pseudo :  Mawness.
Pronoms irl :  Elle.
Autres comptes :  Horyl Eno.
Avatar et crédits :  Anya Taylor-Joy by ethereal.
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Valencia « Val » Narvan
Your beauty never ever scared me.

Trigger warnings massacre, symptômes de tspt/ptsd, incendie, angoisse.

Identité Ses parents se targuaient souvent de faire partie de l’une des plus anciennes familles de Mercadel. Que les générations qui les avaient précédés avaient vu le village se construire, se bâtir. Vérité ou chimère, il était cependant vrai, cependant certain, que Valencia Narvan l’avait vu se briser, l’avait vu se détruire. Qu’avec elle, désormais, leur lignée mourrait. Toute son enfance, la jeune femme avait été appelée ‘Val’ par les autres gamins du village. Un raccourci qu’elle appréciait particulièrement et qui, au fil du temps, lui avait collé à la peau définitivement. Pronoms Elle. Âge Vingt-six ans, et pourtant, elle avait l’impression parfois que le temps s’était ralentit, ce jour funeste où elle avait huit ans. Origines Au cœur de Gwendalavir. L’une des survivantes du village déchu, du village de cendres. Résidence Une minuscule maison à Al-Jeit, qui lui permettait de ne pas trop s’éloigner du travail. Elle aurait été sans doute charmée par Clairval, mais les souvenirs de son village s’évanouissant dans les cendres la convainquait qu’une plus grande ville, avec ses maintes différences, lui convenait mieux. Genre, orientation sexuelle Femme, elle savait depuis longtemps qu’elle préférait, dans ses bras comme dans son coeur, la présence d’une autre femme. Statut civil Elle appréciait sa solitude, l’atmosphère paisible, en flottement de l’endroit qu’elle avait fait sien. Son cœur battait, pourtant, un peu plus fort, un peu plus vite… pour une jeune femme de la noblesse. Occupation Au Reflet de Lune, baigné de magie, son chant caressait, son chant calmait, son chant apaisait. Au cœur de sa petite bicoque, envahie par les plantes de toutes sortes, ses mains fabriquaient des infusions et des baumes pour soigner les malades et les blessés.  Guilde Aucune, pour l’instant. Elle ne les connaissait que vaguement et ne se sentait pas encore assez brave ou assez forte pour ce type d’engagement, qu’elle croyait souvent très guerrier. Avatar Anya Taylor-Joy.
myocarde Les miraculé.es de Mercadel. Pour elle, iels étaient tout, iels étaient une partie d’elle. Quelques petits morceaux de son cœur, quelques petits morceaux de son âme, déchirés, éparpillés dans le monde de l’Ailleurs. Tous les jours, elle avait au moins une pensée pour chacun.e d’entre elleux. Un objet, une situation qui ramenaient un souvenir. Un événement qu’elle aurait aimé raconter à l’un.e d’entre elleux.
Dans les méandres de son esprit, iels n’étaient jamais bien loin.
Iels étaient comme sa famille. Pas des adelphes de sang, mais des adelphes de coeur. Lié.es par les années. Lié.es par les aléas, les difficultés.
Elle essayait, du mieux qu’elle le pouvait, de les voir régulièrement. De leur raconter sa vie, ses joies et ses peines. De leur demander de simples avis ou d’importants conseils.
Même si le temps les avaient tous.tes rendu.es bien différent.es, Valencia les aimait tous.tes. Chacun.e d’entre elleux avait une place de choix dans son petit myocarde et elle gardait avec elleux, une relation privilégiée.
Si privilégiée, que parfois, simple impression ou étrange vérité, elle avait l’impression de sentir leurs émotions. D’être connectée à elleux. De savoir quand il leur arrivait quelque chose de très mal, ou quelque chose de très bien. Une sorte d’intuition, qui, comme tant d’autres, se glissait en un frisson le long de son dos.

encéphale Malgré les années qui étaient passées, la Chute de Mercadel était toujours gravée en elle. Les souvenirs qui lui revenaient étaient encore vifs, horrifiques, clairs comme s’ils étaient réels.
Elle craignait le feu et les flammes. Parfois, le plus paisible des feux de camp pouvait la ramener dans le passé. Val en restait en général assez loin, se sentant plus en sécurité et surveillant que ses braises ne soient pas trop agitées. Sa maison était remplie de couvertures de toutes sortes, pour elle et pour ses invités. Pour que personne ne souffre du froid sans avoir à raviver la moindre brasier.
Évidemment, les grands déclencheurs de ses souvenirs les plus violents étaient les Raïs. Elle qui acceptait toutes les créatures, qui aimait toutes les créatures, avait en horreur ces monstres qui lui donnaient la chair de poule. Leurs cris glissaient des frissons d’horreur le long de son échine, surtout lorsqu’ils semblaient enthousiastes. Encore pire, leur simple vue, de près ou de loin, la figeait. Son esprit lui ramenait les images du massacre, son corps refusait de coopérer, se repliant sur lui-même.
Au fil du temps, heureusement, les cauchemars dont son adolescence avait été parsemée s’étaient raréfiés. Ils ne revenaient que lorsqu’elle était particulièrement stressée. Elle avait appris à utiliser son Don pour s’apaiser elle-même, de la même façon qu’elle apaisait les autres. Celui-ci suffisait, la plupart du temps, pour ne pas que ses angoisses ne deviennent trop étouffantes, même si elle n’était jamais entièrement à l’abri de ses démons.

cordes vocales La chaleur de la maison. Le calme de la nuit. Et une berceuse satinée, qui allégeait l’âme, adoucissait l’esprit.
Quand Valencia n’eût plus personne autour d’elle pour lui prêter sa voix, elle devint celle qui soufflait quelques mélopées. Celle qui chantait, toujours, pour se calmer. En grandissant, son petit timbre d’enfant était devenu une voix douce, agréable. À force de pratiquer pour elle-même, elle s’était améliorée, avait fait de son chant un art en lui-même.
Mais, dans son cas, il avait quelque chose de particulier. Quelque chose de différent qui le rendait encore plus touchant.
Valencia possédait le Don de l’Imagination. De manière faible, mais tangible. Il n’était pas très grand, pas très impressionnant, mais il était bien présent.
La jeune femme l’avait d’abord utilisé pour elle-même. Pour se rassurer. Pour calmer les angoisses qui, lorsque le Drame n’avait que quelques années, n’avaient de cesse de la tourmenter.
Puis, elle avait découvert qu’il soulageait aussi ses proches, qu’il soulageait aussi ses amis. Elle s’était mise alors à chanter pour les autres.
Quand elle s’était retrouvée seule, livrée à elle-même, elle avait quelques fois usé de ses sérénades relaxantes pour trouver un endroit où dormir ou pour se faire un peu d’argent.
Et c’était par un hasard heureux, mais purement hasardeux, qu’elle s’était retrouvée au Reflet de Lune.
La première fois, elle s’y était retrouvée comme elle aurait pu se retrouver ailleurs. Temporairement, le temps d’une soirée.
Mais elle était revenue.
Et elle y avait fait des rencontres qui lui avaient appris, l’avaient intégrée, jusqu’à ce qu’elle s’enracine, jusqu’à ce qu’elle y reste et emménage à Al-Jeit.

phalanges Un besoin. Incessant, criant. De s’occuper. Le corps, l’esprit. Ou, au moins, l’un des deux.
C’était d’abord, jeune, pour se divertir, pour s’amuser.
Ce fut pour oublier, pour s’évader, quand elle fit face à la cruelle réalité.
Et elle avait continué. De créer, d’user de ses mains pour faire de la magie sans la Magie.
Cela continuait de lui changer les idées, de lui faire du bien. Mais, maintenant, elle arrivait parfois à vendre le résultat de son travail acharné. Des talismans inutiles pour certains, des miracles chanceux pour d’autres.
Avec les plantes, elle fabriquait des baumes, des crèmes pour soigner les plaies, ainsi que des infusions, des tisanes pour apaiser les âmes.
Il lui arrivait parfois de récolter quelques pierres, de les glisser dans la cire d’une bougie ou sur le cordage d’un collier.
La jeune femme s’était essayé à de nombreux arts, vers lesquels elle revenait, par moment. Mais ses créations de prédilections étaient pommades et infusions. Il y avait bien, parmis les nombreuses couvertures de sa petite maison, certaines qu’elle s’était amusée à tricoter elle-même.
Parmi ses acheteurs, et même certains de ses détracteurs, la rumeur voulait que Valencia ne se contente pas d’user du simple travail manuel pour créer ses objets. On disait qu’elle y infusait de son Don, de son Imagination. Qu’elle dessinait quelques parties de ses créations, l’entièreté.. ou au moins ses composantes principales. On supposait qu’elle aurait dessiné cette améthyste, ou cette pousse d’ortie.
Son Don étant très peu développé, même l’intéressée n’aurait su si c’était la réalité. De nombreuses plantes poussaient chez elle, mais elle ne savait pas si elle leur insufflait la vie de sa magie. Dans ses créations, elle mettait toujours une intention, mais elle ne savait pas si celle-ci se glissait, s’incrustait, par l’Imagination.
Cependant, elle doutait. Elle pensait sincèrement que c’était impossible, même si elle n’avait jamais reçu d’enseignement concernant le Don.

quintessence Sa maison était petite, mais rassurante. Étroite, mais accueillante. Elle reflétait l’image de son habitante à la perfection. De nombreuses couvertures sur tous les sofas, ainsi que rangées dans quelques meubles. Une lumière tamisée, douce, à la lueur des multiples bougies. Et des plantes. Éparpillées un peu partout. Des fougères, des petits arbres, plusieurs plantes médicinales qui lui servaient dans ses fabrications. Il y avait aussi quelques fleurs, qui ajoutaient de la couleur et qu’elle appréciait beaucoup.
Sa maison était aussi la maison des autres. Un endroit où l’on se retrouvait, où l’on se ressourçait. Elle donnait son hospitalité à la majorité de ses proches, à la majorité des gens qu’elle appréciait, mais parfois à quelques voyageurs envers qui sa confiance se portait. L’endroit était devenu pour ses ami.es un havre de retrouvailles, un havre de paix, à l'abri de tous les tumultes, le temps de quelques jours.
Son aura à elle, contribuait à ce que l’on s’abandonne. À ce qu’on lui fasse confiance. Elle semblait irréelle, venue d’un autre monde et il était évident, à sa rencontre, que son regard était bienveillant. Que son esprit acceptait sans condition, cherchait à comprendre plutôt qu’à juger. Elle était généralement prête à aider, se rendait parfois compte que l’on usait, que l’on abusait de sa gentillesse, mais le faisait quand même, dans l’espoir que la personne y trouve une manière de se réconforter. D’aller mieux.
La jeune femme était aussi très tactile. Prenait un ami esseulé dans ses bras, déposait un baiser sur la joue d’un.e autre. Elle était, elle aussi, tout comme l’endroit où elle habitait, un refuge, un havre de paix.
Sa sensibilité était exacerbée. C’était comme si elle était connectée au monde autour d’elle. Aux autres humains. Aux créatures et aux animaux. Elle ressentait tout, de manière intense, la douleur des autres lui prenait le cœur et elle avait, parfois, souvent, du mal à prendre du recul sur toutes les confidences qu’on lui faisait. La souffrance autour d’elle venait, par moment, l’affecter, elle aussi. Et, si elle n’avait pas encore réussi à se distancer, si elle n’y arriverait peut-être jamais, elle savait pourtant comment s’évader. Elle savait vers qui se tourner ou dans quels endroits s’isoler, le temps de se ressourcer.
juin 1581 Naissance. Elle n’avait ni frère, ni sœur, aucun.e adelphe. Ses parents voulaient un enfant depuis longtemps mais avait eu beaucoup de difficultés. Problème de compatibilité ou de fertilité. L’accouchement s’était heureusement bien déroulé et elle et sa mère en étaient revenues en santé.

années 1582 à 1587  Sa famille n’était pas très riche, mais elle vivait honnêtement. Chacun de ses parents travaillait de ses mains. Sa mère tissait des vêtements, créait des œuvres de laine et de lin pour les habitants du village. Son père, avec de nombreux collègues, cultivait les champs, veillait à ce que Mercadel ait toujours de quoi manger.
Val aura passé une partie de son enfance à accompagner l’un et l’autre au travail, à regarder, à écouter, à participer selon ses maigres capacités. Quand elle ne pouvait pas se glisser sous leurs jupes, elle se retrouvait chez l’une ou l’autre des autres mamans du village, jouant dehors avec les autres enfants jusqu’à la tombée de la nuit.

année 1587 TW : massacre, incendie La fumée. Les flammes. Les cris. Humains et bestiaux. Alors qu’elle et ses ami.es revenaient d’une escapade amusante, riant encore de leurs aventures, Mercadel s’écroulait sous leurs yeux. Le silence s’abattit soudainement sur le groupe alors qu’iels réalisaient l’ampleur des dégâts, l’ampleur du massacre. Alors que chacun.e cherchait à retrouver sa famille dans les décombres. Alors qu’iels cherchaient, dans les cendres, des traces de leurs enfances volées.
Mais il était trop tard.
Il n’y avait plus rien.
Rien que leurs larmes, leur impuissance, leur colère.
Il ne restait plus qu’à attendre qu’on les retrouve, qu’on leur vienne en aide.

Après ce qui avait semblé une attente interminable, des Frontaliers étaient venus à leur secours.
L’orphelinat, à Al-Poll, devint leur nouvelle demeure.
Là bas, le monde était différent. Là bas, le monde était froid et dur. Valencia, pour survivre, avait dû compter la plupart du temps sur ses ami.es. Elle savait très mal se battre mais elle était une gamine mignonne, aux airs innocents, qu’on voulait facilement protéger. Elle avait usé de sa vulnérabilité pour que l’on ai envie de la sauver, envie de lui donner à manger. Elle avait réussi à commettre quelques vols. Avec un regard mouillé, une moue désespérée, on lui pardonnait alors la plupart de ses méfaits.
Les souvenirs de cette époque la hantaient encore. La jeune femme ne savait toujours pas vraiment comment elle avait pu survivre. Si elle le devait à la chance ou à la présence de ses compagne.ons.

juin 1599 TW : peur, angoisse. Valencia avait vu une partie des sien.nes quitter l’orphelinat peu à peu, pour une raison ou pour une autre. D’une manière ou d’une autre.
Et elle avait peur.
Elle espérait ne pas être la dernière, ne pas se retrouver seule, pas ici.
La jeune femme avait fini par quitter d’elle-même, à sa majorité. Plus poussée par l’angoisse de cet endroit que par un réel désir de liberté.

octobre 1599 Valencia découvrit vite que la musique, qui lui servait de réconfort dans sa jeunesse, pouvait lui permettre de vivre. Que les gens qui croisaient sa route appréciaient ses chants, en après-midi ou jusqu’au bout de la nuit. Elle s’était mise à en user, à faire quelques spectacles. Dans la rue, puis dans les maisons qui voulaient bien lui offrir, en échange, un peu d’hospitalité ou un peu d’argent. Elle errait, découvrait le monde peu à peu, et s’émerveillait, sentait son enfant intérieur réconforté par tant d’aventures. Cependant, la maison lui manquait. Avoir un espace, un chez soi. Elle espérait, un jour, pouvoir se poser.

avril 1605 C’était lors d’une paisible soirée d’avril qu’elle s’était rendue pour la première fois au Reflet de Lune. Comme à son habitude, elle avait fait sa prestation, veillant à ce que chaque personne présente se sente bien, apaisée. Cette fois, cependant, elle avait discuté, échangé avec les nombreux.euses employé.s. Elle avait créé quelques liens et était revenue plusieurs fois, finissant par s’engager à plus long terme là bas, prise sous l’aile de l’une des danseuses. La jeune femme avait trouvé une petite maison, qu’elle avait fait sienne, passant plusieurs heures à la décorer à son image.

mai 1605 à année 1607 Depuis, la chanteuse passait toujours la plupart de son temps à Al-Jeit. Elle gardait contact avec ses ami.es les orphelin.es, espérant qu’iels puissent se rassembler bientôt, tous.tes ensemble, le temps de discuter, le temps de se rappeler des souvenirs joyeux.  

true neutral, enfp-a
theme song ; until the night turns by lord huron
d o u c e u r a i m a n t e —  musique rêveuse, mélodie intangible, chant ; moment de flottementl’odeur du lilass’ a t t a c h e r, toujours t r o p s’attacher - affection, acceptation inconditionnelleréparer les vivantsun être évanescentcompréhension, écoute, non-jugement, e m p a t h i e, encore l’ e m p a t h i el’air doux de la naturel’odeur d’une forêt de conifèress’isoler pour se ressourcermélancoliehomesick for a place that doesn’t exist anymorehalf agony, half hopel’acceptation de l’autre, sous toutes ses facettesethereal, almost ghostly


Pseudo, prénom Mawness, Marie. Pronoms Elle. Âge Vingt-huit ans. Zone géographique Québec. Type de personnage Prélien de  @Malva Mogween . Commentaires Et de deux sur trois ou quatre ! Je vous aime ♥ Crédits Avatar de la fiche par ethereal.

J’accepte que mon personnage puisse être transformé en scénario si je venais à quitter le forum.
J’accepte que le staff conserve mes écrits si je crée une famille, une guilde ou une organisation si je venais à quitter le forum.
Iris Kil' Dragan
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Iris Kil' Dragan
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Elle est làààà hiii

La plus belle hearteye

J'aime tout ce que je lis, hâte de la voir évoluer à Gwendalavir heeey

Bon courage pour ta fiche hrt
Malva Mogween
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Malva Mogween
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OOOOH. ENFIIIIIN. TROP BIEEEEN. yey luv3
Mais qu'elle est belle, je fonds. drama
(re)bienvenue parmi nous ! raaah
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Elinaïwenn El'Hassan
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Oh re bienvenue avec cette beauté cutie
Bon courage pour ta fichette et soit certaine que je viendrai envahir ta fiche de lien hrt
Valencia Narvan
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@Iris Kil' Dragan Ouuuuiii, merciiii ! cutie Hâte de rp avec toi et de jouer notre lien tout doux tout wholesome please Merci beaucoup !

@Malva Mogween Merci beaucooooup, elle est là ! hearteye

@Elinaïwenn El'Hassan OUI hâte d'embêter tous tes persos avec tous mes persos I love you Merciii et avec plaisir pour un lien hiii
Micale Efke
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Micale Efke
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oooh une collègue hearteye et si elle fait des trucs avec des plantes, ça va doublement intéresser micale smirk je veux un lien !
bienvenue sur spires, bon courage pour finir ta fiche (Valencia) sensitivity is divinity 2836622390
Valencia Narvan
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@Micale Efke

Merciii !
Ce sera avec plaisir pour un lien ! OuO J'adore Micale mais je peinais à trouver un truc avec Horyl justement, mais avec Val ce sera facile hiii Je crois qu'elle va l'adorer hrt Je tenterai aussi de nous trouver un rp aux p'tits oignons hihi
Nelis Gonques
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Elle est merveilleuse...
Bonne rédaction ici ! hrt
Valencia Narvan
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@Nelis Gonques Merci c'est adorable luv
Hâte de passer sur ta fiche de liens (faudra que je le fasse avec Horyl aussi ! eyesad )
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